le monde onirique de Jeanine delpeuch, oú les dryades côtoient les sirènes,
les faunesses et autres fifolettes inspirées par le mystère de la métamorphose,
s’enrichit cette saison de Vénus et déesses de fertilité sculptées dans le grès,
parfois émaillées et enfumées, mais aussi peintes (encres et monotypes).
Pour notre grand bonheur Janine nous présente un raku irisé aux reflets metallescents dûs à la magie des oxydes.